“Planètes des hommes”, la nouvelle série documentaire de France 5

Culture

Par Coline Willinger

Posté le 26 décembre 2011

Nouvel épisode à 14h55 de "Planète des hommes", la nouvelle émission grand spectacle de France 5 diffusée du 21 au 30 décembre. 52 minutes pour explorer la manière dont les hommes se sont appropriés les milieux les plus hostiles de notre planète. Aujourd’hui, on met le grappin sur la haute montagne.


Fleuves, plaines, océans, déserts, arctique, villes, jungles... autant d’habitats hostiles que l’homme a réussi à s’approprier pour y installer son foyer et y vivre en harmonie avec la nature. France 5 nous offre donc la possibilité de découvrir chacun d’entre eux à tour de rôle au cours de huit épisodes de 52 minutes pour finir l’année en beauté.

Des Woodabé du Sahara, "hommes de l’interdit" adeptent d’une étonnante danse de la séduction pour assurer l’avenir de leur tribu, aux Bajau de Bornéo, "les nomades de la mer" tellement à l’aise en milieu aquatique qu’à leur retour sur la terre ferme ils éprouvent le mal de terre, c’est l’Homme et sa capacité d’adaptation qui est au centre de l’émission. L’Homme qui est aussi à l’origine des nombreux déséquilibres écologiques de notre planète...

Aujourd’hui, c’est la montagne qui nous intéresse et la manière dont certains hommes se sont appropriés ces cols et sommets où l’air et la vie sont rares.

Sur les hauts plateaux de Mongolie, on côtoie ainsi les chasseurs accompagnés de leurs aigles royaux dressés à la chasse. Dans ce paysage aux allures désertiques, les Mongols guettent les renards et les lapins réputés pour leur fourrures, que les oiseaux sont en charge d’attraper.

Au Népal, on découvre Doplo, cette enclave bouddhiste à la frontière tibétaine, appelé bé-yül, pays caché en tibétain, situé à une hauteur telle que les arbres n’y poussent pas.

Tout au long de l’émission, l’équipe de France 5 se plie en quatre et accumule les risques afin d’approcher au plus près l’espèce humaine et de nous rapporter des images à couper le souffle. Pour Montagnes, le cameraman n’hésitera pas monter à cheval pour la première fois de sa vie afin de suivre les chasseurs mongols dans leurs folles chevauchées.

Un hymne à la relation vitale entre l’Homme et Dame Nature.